Article de Luc LEROUX, journaliste sur la reprise d'une enquête concernant un enfant disparu, le petit Mathieu HAULBERT, toujours recherché..
Article important puisqu'il s'agit d'un témoignage écrit, daté, signé qui rappel des faits. Un "droit de réponse" a été nécessaire par un "acteur" nommément désigné.
Parfois des personnes sont médiatiquement "accusées" puis plus tard lorsque celles-ci se trouvent innocentées, plus un mot.
Le rédacteur de l'article n'est pas en cause, au contraire il nous permet d'avoir : Un témoignage écrit. A lui maintenant, peut être, de publier la suite du dit article .
Parfois des personnes sont médiatiquement "accusées" puis plus tard lorsque celles-ci se trouvent innocentées, plus un mot.
Le rédacteur de l'article n'est pas en cause, au contraire il nous permet d'avoir : Un témoignage écrit. A lui maintenant, peut être, de publier la suite du dit article .
Le rédacteur de ce blog lui ouvre un droit de réponse.

Ce dossier est bancal... est-il écrit entre autres, mais la situation a t elle été redressée aujourd'hui ? Ou en est cette piste publiquement avancée ?

Ce dossier est bancal... est-il écrit entre autres, mais la situation a t elle été redressée aujourd'hui ? Ou en est cette piste publiquement avancée ?
Il y a beaucoup d'informations dans cet article.
Je note colonne de droite :..." Le gendarme a déposé plainte pour dénonciation calomnieuse, le juge d'instruction Yves B a déclaré le 24 mars dernier (1993), sa procédure irrecevable".
En appel, une erreur procédurale du juge d'instruction sera relevée mais l'irrecevabilité confirmée. Tout est à ce sujet exposé dans un autre article (Comment x a échappé aux poursuites).
Il est ensuite publié : "Alors l'adjudant a déposé plainte pour diffamation contre les avocats d' x et contre M.6. qui, au mois de juillet, a diffusé une émission consacrée à la fragilité du témoignage" (En réalité c'était les faux témoignages et il y a eu 3 diffusions)
Ici le dossier qui était en béton armé sur les faits, traité par un avocat Aixois devant le tribunal correctionnel de Paris est "tombé à l'eau" suite a une erreur de procédure, une nullité de procédure, commise par cet avocat. Il a tenté de récupérer le dossier jusque devant la Cour de Cassation mais c'était perdu d'avance, la nullité étant certaine.
Un petit commentaire, le plaignant voulant par cette procédure obtenir l'établissement et la publication de la vérité en rectification, il n'a pas demandé à son avocat de déclarer cette faute professionnelle à son assurance, il n'a pas demandé d'indemnisation.
Toutefois le gendarme certain de son bon droit à continué (avec un autre cabinet d'avocats de Fontainebleau) à engager d'autres procédures.
Cette fois il va d'abord obtenir la condamnation de l'Etat devant le tribunal administratif de Versailles, puis devant la Cour Administrative d'Appel de Paris.
Ensuite, à partir de ce jugement, il va obtenir le déclenchement de 2 enquêtes diligentées par un service dit Parisien, et il va ainsi faire entendre Christian M, l'homme qui l'avait nominativement, injustement accusé, ainsi que de plusieurs gendarmes témoins, ce qui va conduire à établir l'innocence complète du gendarme L, le faux témoignage à son encontre par le fameux "témoin" Christian M et surtout la totale vérité sur cet épisode. Ce témoin à géométrie variable va ensuite continuer à mettre d'autres gendarmes en cause. La procédure est entre les mains des magistrats.
Avant dernière colonne je remarque (extraits) : "La justice n'a pas bien fait son travail.../... A la barre, un seul homme Christian M a fait voler l'accusation en éclats....."
Ce fait, le témoignage de cet homme semble donc avoir été un point important, peut être décisif de cet épisode. Il y a des commentaires dans d'autres articles de ce blog à ce sujet.
à suivre....
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